Indignez-vous ….
Le
patron suisse de la filiale belge d’UBS ,M. Marcel Bruehwiler est
depuis le19 juin dernier poursuivi par la justice belge pour
organisation criminelle , blanchiment exercice illégal de la profession
d’intermédiaire financier et fraude fiscale grave organisée … excusé du
peu !!!
Il
y a présomption d’innocence… en 2009, UBS a payé 780 millions de
dollars à la justice américaine, en 2012 UBS à payé 1,5 milliard de
dollars pour le scandale du Libor.
Janvier
1997, un gardien de nuit travaillant chez UBS, constate du travail la
nuit dans les bureaux, on est en train de détruire les archives nazies,
il parvient a sauver une partie des archives et les transmet à une
association juive, qui identifie des comptes de victimes de la Shoah et
des valeurs nazies toujours détenus par la banque.
UBS dépose plainte contre ce gardien de nuit pour violation du secret bancaire.
Ce
gardien reçoit des menaces de mort, il est obligé de s’enfuir aux USA
où il obtient l’asile politique , une première pour un citoyen suisse.
Sous
pression , UBS confirme alors l’existence de nombreux comptes en
déshérence appartenant à des juifs ayant péris dans les camps nazis et
dont le contenu ‘’ n’était pas réclamé’’
En
fait ces comptes étaient réclamé , pas par leur propriétaires morts,
mais par leurs descendants, mais abjecte, UBS selon son règlement
interne exige un certificat de décès , UBS fait semblent de ne pas
savoir que le camp de concentration d’Auschwitz ne délivre pas de
certificat de décès…
En 1998, UBS ( avec Crédit Suisse ) verse 1,25 milliard de dollars de dédommagement au Congrès mondial juif.
Encore
plus abjecte, en 2000 , USB a admis qu’elle avait exploité de la
main-d’œuvre provenant des camps de concentration nazis : elle possédait
une cimenterie durant la guerre, non loin d’Auschwitz… Les costumes
Hugo Boss, le tailleur allemand qui créa l’uniforme noir à la tête de
mort porté par les SS, figurent-ils en bonne place dans la garde-robe
des banquiers d’UBS ?
Source Moustique hebdo 27
UBS La banque des apparences
Bravo au journaliste M. Gauthier De Bock
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